Quoi de neuf coté Architecture


Le request management

Cette fonctionnalité donne à la ferme SharePoint le contrôle des requêtes entrantes, les priorises et les route.

Le routing ce fait en fonction de règles qui sont définies et elles sont appliqués à la réponses la plus appropriée. Request management propose les actions suivantes :

  • Routage de la requête vers le serveur qui a le meilleur état de santé (en fonction des règles définies)
  • Identification & blocage des mauvaises requêtes connues
  • Priorisation des requêtes les plus importantes (une requête utilisateur) par rapport à aux requêtes les plus faibles (par exemple un service en background)
  • Router les requêtes spécifiques verse les serveurs spécifiques de la ferme (la recherche par exemple)

Le composant de request management peut s’éxécuter dans un mode intégré à la ferme sur n’importe quel serveurs. Il peut également s’éxécuter sur un serveur dédié qui ne fait pas partie de la ferme SharePoint.

On préfèrera l’exécuter en mode intégré la plus part du temps sur l’ensemble des serveurs de la ferme. A contrario, en mode dédié sur des environnements dit large.

Les services applications

Des nouveaux services application font leur apparition comme :

  • App Management Service : Permettant d’installer des applications depuis le marketplace ou un catalogue d’application d’entreprise
  • SharePoint Translation Services : Traduction automatisé J (Visible sur technet)
  • Work management service : propose l’agrégation de tâches comme par exemple modifier une tâches Exchange depuis son téléphone portable, puis le WMS agrègera la tâches dans une liste de tâches SharePoint « My tasks ».

    Fonctionne pour les produits suivants : Microsoft SharePoint, Exchange, Project

Les Office Web Apps

Elles n’existe plus, … enfin elles évoluent vers un produit complètement séparé, les Office Web Apps Server. Elles peuvent servir dans différentes ferme, afin de voir et d’éditer des documents online. Et n’est plus exclusivement dédié à SharePoint, il est effectivement possible de voir des fichiers depuis Lync, Exchange, SharePoint, et également des files share accessible.

Les tiers peuvent être également intégré avec ce service et fournisse un accès à leur document comme EMC Documentum, FileNet (IBM), Oracle et OpenText.

My Sites

Les bases de données ont été optimisées pour les performances, principalement la base de profile. Les données sociales personnelles sont maintenant associées aux MySites et stockées dans une base de contenu. Cela fourni donc une intéraction supplémentaire entre les MySites et les Profiles des utilisateurs, en y incluant par exemple des fonctions sociales, social feeds, …

Business Connectivity Services

Coté BCS, c’est un peu mon dada en ce moment avec Duet Enterprise J

OData est supporté par SharePoint 15 donc les données externes à votre système sont accessible et utilisable. Depuis des années OData existe dans SharePoint mais en tant que fournisseur, où les développeurs pouvaient allé consommer des listes au format OData. Il est possible avec SP15 de connecter les sources OData.

Les listes externes :

Beaucoup d’améliorations !

Il est possible d’exporter les listes externe vers Excel, de les filtrer, de définir le nombre de ligne à afficher (donc beaucoup plus rapide, et donc plus performant)

Côté bases de données

SP15 n’est compatible qu’à partir de SQL Server 2008R2 SP1 donc tout ce qui est inférieur ne marche pas.

Pour SQL2012 la nouveauté est bien évidemment le AlwaysOn (une des plus grosses news J) permettant la mise en place de la Haute Disponibilité, et du FailOver. Cela améliore les disasters recovery et réduit le temps de non disponibilité de la plateforme SharePoint 15.

Les fonctions suivantes améliore également les BDD de contenu de SP15 :

  • Conformisme à SQL Azure
  • Suppression de la redondance et de l’inutilisation des tables et indices des tracks links
  • Réduction des opération d’input/output lors de la navigation dans les documents library
  • Utilisation des colonnes parsée de SQL pour simplifier le schéma des bases SharePoint et optimiser les temps d’accès
  • Amélioration des grandes listes

Le moteur de recherche

L’apparition du crawl continue permettant de conserver un index propre, la possibilité de le gérer manuellement est maintenu.

Suppression des éléments de l’index, dans SharePoint 2010, il était nécessaire d’executer l’option Search Result Removal afin de supprimer les entrées de l’index qui ne sont pas utilisés.

Dans SP15, il est possible de faire la meme opération à travers les journaux de logs (crawl logs)

L’architecture change également:

The crawl component (1)

crawl les sources de contenu et les propriétés dont les métadonnées. Les informations sont ensuite envoyées au content processing component.

The content processing component (2) qui transforme les éléments crawlé et qui les inclus à l’index de recherche. Il mappe ensuite les propriétés crawlé aux propriétés gérés. L content processing component interagit avec le analytics processing component.

The analytics processing component (3) analyse les éléments crawlé et comment les utilisateurs interagissent avec leur résultat de recherche. Ces informations sont utilisés pour améliorer la pertinence des résultats de recherche, créer des rapports et des recommandations.

The index component (4) recoit les elements « compilés » depuis le (2) et les écrits dans l’index. Le composant ce charge aussi des requêtes entrante, retrouve l’information dans l’index de recherche, et renvoie le résultat de la requête au composant de query (5).

The query processing component (5) analyse les requêtes entrants et aide à l’optimisation de la precision de la recherche, recall (avec les elements qui sont retournés dans la recherche) et le ranking (ordre des éléments). La requite est envoyée ) l’index (4) pour afficher un set de résultat retourné par la requête. Les résultats peuvent être execute et présenté à l’utilisateur.

The search administration component (6) execute le processus de recherché et ajoute puis initialize de nouvelles instances pour le composant de recherche.

The crawl database (A) contient des informations détaillées de suivi et des informations historiques sur des éléments analysés tels que des documents et des liens. La base de données contient des informations telles que l’heure dernière analyse, l’ID dernière analyse et le type demise à jour au cours de la dernière analyse (ajouter, modifier, supprimer).

The link database (B) stocke les informations extraites par le composant de traitement de contenu et de click-through information.

The analytics reporting database (C) stocke les résultats de la recherche et analyse de l’utilisation, telles que le nombre de fois qu’un élément a été vu

The search administration database (D) enregistre les paramètres de l’application de service de recherche, tels que la topologie,des règles d’analyse, les règles de la requête et les mappages entre les propriétés analysées et gérées.

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